Liste des commentaires
couverture de : Les Années de tourmente
Martine C le Jeudi 23-10-2025
Ce second tome se situe en 1993 en Allemagne. Il explore les difficultés de la réunification de l’Allemagne, l’auteur dépeint le regard des ”Ossis” sur les ”Wessis” et inversement. Il se concentre sur le passé des personnages ainsi que sur les conséquences des secrets de famille sur leur présent. Franziska et Walter, nos jeunes mariés après de longues années de fiançailles et des décennies de séparation, vont devoir faire face à une période de troubles pour sauver leur amour et se libérer des fantômes du passé qui les hantent.
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couverture de : Le  domaine de l'héritière
Martine C le Lundi 10-11-2025
Ce roman alterne deux histoires, celle d’Émilie dans le temps présent et celle de Constance durant la seconde guerre mondiale. C’est une histoire de secrets de famille, de loyauté et de trahison sous fond de roman historique. Ce livre est une fresque multigénérationnelle typique de l’auteur.
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couverture de : La Fille aux dahlias
Martine C le Mercredi 12-11-2025
"La fille aux dahlias" est le premier tome de la série "Le parfum des fleurs sauvages", c’est une saga familiale captivante mêlant secrets de familles et quête d’identité. Pour son mélange de mystères, de voyages et de puissants personnages féminins, ce livre est comparé à la série "Les sept sœurs" de Lucinda Riley. C’est avec impatience et beaucoup de joie que j’attends la traduction en français des quatre autres tomes de la saga de Tessa Collins, pour les amateurs la sortie du tome II en français est annoncée pour février 2026, j’ai hâte !!!!!!
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couverture de : Un Nouvel espoir
Martine C le Samedi 25-10-2025
Dans ce troisième tome, Franziska, épaulée par sa petite fille Jenny, met toute son énergie à concrétiser son rêve : transformer le vieux manoir en un hôtel. Ce projet ambitieux est vital pour assurer un avenir prospère et durable au domaine. Rapidement surviennent des difficultés économiques, une troublante découverte est faite lors de travaux dans la cave, interrompant les travaux. Franziska doit combattre pour protéger son héritage et affronter les fantômes du passé.
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couverture de : Aimer
Danièle M le Mardi 11-11-2025
La trame est presque totalement brossée dans le résumé précédent. Dommage ! Dès les premiers chapitres, le lecteur pressent que la séparation, dès l'enfance, pour des motifs familiaux, de Margaux (9 ans) et Alexis ne sera qu'éphémère, même si, quatre décennies après et le milieu d'une vie pour les deux protagonistes sont égrainés dans le moindre détail. Et c’est peut-être cette anatomisation de leur vie d’adulte avec leurs péripéties amoureuses, sexuelles, les études, leur profession, leur entourage, la famille, qui scrutée de façon quasi scientifique, particulièrement pour le parcours d’études brillantissimes d’Alexis et son emploi high-tech aux États-Unis, pèse sur la fluidité du récit. La partition des rôles est plutôt manichéenne, fataliste aussi, donc prévisible dès leur rencontre fortuite, sans véritable espoir que la roue de la vie puisse dévier allègrement. Le bonheur est improbable pour chacun d’eux, malgré le mariage, les enfants, la place dans la société. À croire que le destin tracé par les Parques est irrémédiable, alors même que ces deux êtres étaient imparablement complémentaires. L’écriture contribue aussi à ce texte très inégal. Tantôt sobre, précise, ciblée, tantôt alambiquée, s’éloignant de la littérature pour se perdre dans le scientifique sur plusieurs pages (184,5,6) ou dans le superflu contemporain (p. 231,2 ; 313,4). L’atmosphère générale est froide, dépourvue de sentiments heureux exprimés. Margaux et surtout Alexis, s’y autorisent-ils ? Le lecteur espère encore que le hasard de leurs retrouvailles effacera la grisaille et le conventionnel de leur existence, mais soit le temps a mal fait son œuvre, soit eux-mêmes lassés, usés, atteignent 2025 apaisés certes, mais démunis devant le temps qui fuit. Et malgré cette affirmation de Margaux : » Ça ne finit pas. Ça commence » p. 375 ou bien encore « Aimer est le plus beau paradoxe » p. 376, l’auteur, dans une fin ouverte et ambiguë, les glisse à nouveau dans les eaux du Léman…
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couverture de : Mettre au monde
Danièle M le Mardi 21-10-2025
Récit du destin croisé de deux femmes, aux vécus différents. L’une, chercheuse universitaire absorbée par la préparation d’un symposium national très officiel, représenté par la Ministre de la condition féminine en personne, sur la condition éponyme au travers de la Loi Veil et en rappel de la lutte de Gisèle Halimi et de centaines de femmes derrière elle. Marguerite, quarantenaire, s’affiche comme une femme libre, libre dans ses convictions comme dans ses agissements, ses multiples compagnons, sa sexualité décomplexée et goulue. L’autre, Jill, mère de famille célibataire de 2 garçons, Daniel et César, sage-femme à la Courneuve depuis plus de 15 ans, passionnée par sa profession, attentive à chaque parturiente, et à chaque naissance. Responsable et empathique jusqu’à vouloir adopter chaque bébé ! « Confisquée » à ses propres garçons par le temps hospitalier, elle en délègue la garde à sa mère Jeanne, ex-infirmière. Et la vie s’écoule ainsi normalement, de façon routinière, épuisante parfois mais heureuse jusqu’au malaise et l’hospitalisation définitive de sa mère. Si les femmes apparaissent incontestablement sur le devant de la scène, les hommes n’en sont pas absents : Sam, Jérémy, Karim (à l’incarnation différente) et d’autres anonymes, mais Cloé Korman ne leur accorde qu’un rôle insouciant, évanescent, de rencontre, de passage, de pur plaisir non sans laisser de traces d’ailleurs pour nos 3 héroïnes. Et le hasard d’une grossesse irréfléchie et naïve pour Jill, sa totale impréparation, la saturation des maternités toujours moins nombreuses et l’accueil chez les Vérones, « au pays du premier jour » où officie Marguerite, offriront au lecteur la rencontre de ces deux profils avec leurs différences et leur sororité. Ce roman est un hymne à la libération féminine tant sur le plan de la verbalisation que de la revendication comme plaisir charnel de l’acte sexuel par la femme face à la légèreté masculine. Et à raison pour que nos sociétés éminemment patriarcales n’oublient pas, ou au risque de longueurs, l’écriture de ces pages propulse Cloé Korman comme une militante résolue de ce combat.
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couverture de : Transylvania
Danièle M le Dimanche 26-10-2025
Le titre du dernier thriller de Beuglet invite immédiatement le lecteur dans l’aventure sombre et inquiétante des Balkans, vers l’énigmatique château de Bran, celui du Prince Dracula. L’accroche est quasi assurée. L’inspectrice Mina Dragan, plus hardie et obstinée qu’expérimentée, car simple agent, se proposera pour l’élucidation du meurtre de l’unique hôte de cette auberge fantomatique. Aucun détail d’atmosphère touchant à nos sens ne manque : le ciel plombé, la neige et son silence, le brouillard, la présence de loups, l’ombre du personnage légendaire et de vampires, les portes qui grincent, les pièces innombrables, la propriétaire mystérieuse, et cette victime tatouée qui interroge. Puis l’histoire va dévier avec la présence et les commentaires d’un ancêtre des frères Grimm, Alphonse, qui essaiera de nous livrer les secrets des Contes éponymes, le pourquoi et les conséquences de nos peurs. Pour clore en dernière partie avec une problématique souvent soulevée actuellement : l’importance des livres, de la lecture, qui invitent à créer, à imaginer, à fantasmer face à la technologie et aux outils toujours plus sophistiqués tels portables, tablettes, écrans avec lesquels l’humain devient davantage spectateur qu’acteur actif, même si sa curiosité est rapidement satisfaite. Jusqu’à l’IA, redoutable pour la créativité et la véracité de l’information, la facilité d’accès, etc. Opposer le conte écrit ou lu et l’IA « reçue » semble malgré tout un raccourci facile, sachant que l’IA ouvrira certainement des horizons en médecine par exemple et qu’à chaque évolution de technologie : automobile, avion, téléphone, écrans etc., la crainte a dû être identique. Mais ne s’éloigne-t-on pas alors de l’argument central qui fait un polar ? Le lecteur qui attend avec impatience une suite logique, haletante, imprévisible ne se sent-il pas floué ? Car rien n’empêche Beuglet de rédiger un essai sur la crainte inspirée par l’IA, la baisse du QI des humains, le copier-coller aisé, la nature dénaturée ou autre. A trop écrire aussi, la respiration s’essouffle et le prétexte, même axé sur la conscience collective et l’exploration du subconscient individuel, ne suffisent plus à entraîner l’amateur ou plus encore le passionné de polars !
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couverture de : Revenir à Marimbault
Danièle M le Vendredi 17-10-2025
Le décor est planté, l'intrigue tracée. Les personnages ? Une famille, les Dutilheul, plutôt conventionnelle, voici plus de 30 ans. Henri et Jeanne, mariés pour une vie, parents de trois enfants : Michel, Jean-Noël, Cécile. Bien implantés par leur profession de commerçants dans le village de Bazas, près de Langon en Gironde. Famille honorable, respectable aux yeux de tous mais rigoriste quant à l'éducation, avec des variantes selon les enfants. Jean-Noël, le protagoniste, en est le témoin infortuné. Il raconte ou suggère. Sa vie actuelle semble le conforter : architecte urbaniste à Paris, il a épousé David Burton, momentanément au Japon. Il revoit son ancien enseignant André dans une émotion partagée à la fois dans l'admiration du maître mais aussi parce qu'André a percé immédiatement le malaise de son élève jadis. Michel, le frère « effacé », lui téléphone pour annoncer la fin imminente du père. Là, le film de l’enfance, de l’adolescence, les images d’un père et plus encore d’une mère, rigides jusqu’à l’intolérance inhumaine, un amour inique pour la fratrie, refait tristement surface dans l’esprit et le cœur de Jean-Noël, ponctué par une phrase implacable : « Toi maintenant, tu prends tes affaires et tu fous le camp ». Jusqu’à le persuader qu’il est le responsable de son départ ou, mieux, de l’abandon coupable de sa famille. Tout l’art de Stéphanie Chaillou est dans l’allusion, l’insinuation au fil de courts chapitres et d’une sobriété de mots ou -rien- rivalise avec -la chose-, qui laisse au lecteur sa propre interprétation, son propre ressenti. La nature est accablée par la canicule, les objets et les intérieurs : hôtels, maisons sont comme les personnages quasi-statufiés, seule « la bête » anime les nuits. Au lecteur aussi de l’élucider. L’atmosphère est lourde de sens, taciturne, sans illusion. Elle résulte du dogmatisme d’une famille qui se veut exemplaire et des non-dits mortifiants qui l’ont peuplée.
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couverture de : Les Révélées
Martine C le Mercredi 24-09-2025
Ce roman alterne entre les destins de deux femmes qui, bien que vivant à des époques différentes, partagent des similitudes dans leur quête d’identité et de vérité. Les thèmes abordés sont la quête familiale, les secrets du passé, des liens complexes entre la foi et la folie et la quête de soi.
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couverture de : La boîte de Pandore
Martine C le Vendredi 28-11-2025
La vie d’un professeur d’histoire prend un tournant inattendu lorsqu’il participe à un spectacle d’hypnose. Il comprend que les expériences et secrets de ses existences passées ont une influence directe sur sa vie présente et sur la mémoire collective. Il se pose la question fondamentale : peut-il, par ses régressions, modifier le cours de l’histoire ?
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