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Liste des Commentaires
La soeur de l'ombre
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Star, la soeur numéro trois hésite à partir à l'aventure sur les traces de son passé . Elle vit avec Cece ( sa soeur numéro quatre ) et elle est plutôt effacée , mais elle finit par se lancer dans l'aventure . En plus de découvrir sa famille , ses origines elle finit par apprendre à vivre pour elle et plus à travers sa soeur comme elle le faisait depuis toutes ces années . Le voyage autour du monde continu .
La soeur de la tempête
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Ally ( la deuxième soeur ) reçoit elle aussi à la mort de son père adoptif, des indications pour retrouver sa famille, ses origines, son pays de naissance. Une tragédie va la pousser à partir sur les traces de ses ancêtres. Très bien écrit, on voyage avec elle tout en étant confortablement installé dans son canapé .
Maia
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A la mort de leur père (adoptif) Maia et ses cinq soeurs partent sur les traces de leurs origines . Même en sachant qu'on a été adopté , comment va t-on accepté ce que l'on va découvrir ? Nouveau pays, nouvelle culture et cela révèle parois bien des surprises et aussi beaucoup de secrets. C'est passionnant et dès qu'on a fini avec l'histoire d'une sœur on se demande ce que vont découvrir les autres.
Ciao bella
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Ce roman touchant d'une histoire familiale est bourré d'humour, de bons et mauvais sentiments. Mes racines italiennes, comme Gigi qui l'a présenté au Café littéraire , m'ont particulièrement fait apprécier ce roman.
Triste Boomer
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Frais et léger. Idée amusante d'écrire l'histoire de l'homme par sa tablette dont il ne se sépare jamais et la femme par le portrait d'un ancêtre auquel elle se confie.
La décision
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Livre d’une rare concision sur autant de thèmes événementiel, professionnel, psychologique abordés. Alma Revel, juge d’instruction coordonnatrice du pôle antiterroriste, épouse d’un écrivain Ezra en quête d’inspiration et immergé dans le judaïsme orthodoxe, parents de trois enfants, devra gérer simultanément plusieurs situations sensibles dans un moment crucial à tous points de vue, politique, historique et personnel. Si la thématique de fond factuelle, relate les divers attentats islamistes en France depuis plusieurs années, K. Tuil réussit la prouesse d’analyser avec une grande acuité ses propres interrogations, son ressenti sceptique face aux inculpés (incises d’interrogatoires) mais aussi la douleur indéfinissable de familles touchées à jamais dans leur chair. Sans compter les menaces de mort régulières. Quinquagénaire en phase de bilan intime, elle rencontre l’avocat Emmanuel Forrest qui défend les causes quasi injustifiables de jeunes gens partis en Syrie pour faire le Djihad. Proches en amour et adversaires professionnellement, dilemme kafkaïen. Mais l’histoire s’amplifiera avec la mise en danger fortuite de Milena, sa fille et son compagnon Ali…. La tension est constante et ne doit hélas rien à la fiction. Des questions existentielles se multiplient : fragilité et courage, versatilité de l’humain. Vérité, mensonge, assurance, quand et pourquoi l’être humain bascule-t-il dans la violence extrême ? Difficile de reposer ce roman.
Il nous restera ça
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Tout simplement GENIAL !!! Comme toujours on rit , on pleure mais surtout on pleure de rire . Voilà une drôle de colocation ,une dame d'un certain âge qui vit avec son chien, un garçon de 18 ans qui se démène pour s'en sortir et une jeune femme qui se demande ou elle va dormir ? Ils n'ont strictement rien en commun et pourtant .... Même avec des sujets pas toujours très drôle , Virginie Grimaldi arrive à nous faire rire . C'est gaie , drôle et en même temps c'est émouvant car comme toujours ce sont des histoires de vie et d'amour .
L'enfant réparé
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Suite inévitable pour Grégoire Delacourt du livre précédent "Mon père". Malgré une profession lucrative et enviée, l'écriture de romans moins ciblés, une vie familiale substantielle et une longue période d'analyse, l'enfance violentée réémerge obsessionnellement. Tout réaffleure : le Valium, le Mogadon, la dureté assumée du père, la froideur impartiale ou neutre de la mère, le pensionnat éducateur. La peau et le toucher sont toujours en éveil, même dans les rapports amoureux avec ses compagnes. Les odeurs d'éthylène, de cigarette mentholée, d'un appartement clos ou la vue de certains objets familiers sont autant de madeleines pour lui. Tout comme la perception de son propre corps : "Mon corps m'empoisonna pendant cinquante ans" p.68 . La vitesse, l'alcool, l'éloignement, l'isolement et surtout l'écriture pour mieux disséquer et fixer ce passé : baumes ou placebos à cette douleur abyssale? Les pages consacrées à la fin de vie de la mère et du père sont impitoyables. Le poids de leur déni est plus fort. Et pourtant l'amour y côtoie l'aversion . "Le pardon est une fiction", écrit-il p. 227. L'auteur semble oublier ou du moins estomper la culpabilité du prêtre, par qui ce déchirement s'est incrusté à jamais pour mieux accuser ses parents qui ne l'ont pas sauvé. A-t-il seulement été un père parfait lui-même? Se rachète-t-il dans ses jugements inflexibles en concluant : "Tu vois, mon livre parle de toi. Mon livre est toi. Il est l'amour d'une mère" p. 229 Écriture au cordeau, phrases courtes, sonnantes, rigidité du vocabulaire, récit bref et pourtant tellement expansif et bouleversant.
Minuit dans la ville des songes
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Le plaisir de retrouver des lieux connus et parcourus dans les années 70 ajoute une note nostalgique à cette émouvante autobiographie. Plaisir de lecture qui se dévore en un jour.
La chaîne
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Un très bon polar plein de suspens et de rebondissements. En tant que parents on ressent toutes les angoisses et les questions que se pose cette maman. Sa fille a été enlevée, elle doit enlever un enfant à son tour puis persuader les parents de sa petite victime d'enlever eux aussi un enfant pour qu'elle puisse récupérer sa fille ! Oui mais comment enlève t-on un enfant de jour, en pleine rue ? Et après où le cache t-on , faut-il l'attacher , le bâillonner , si oui comment et pendant combien de temps ? Et après comment continuer à vivre avec tous ces cauchemars , cette culpabilité et est-on vraiment à l'abri que tout cela recommence ? Une histoire glaçante qui nous tient en haleine d'un bout à l'autre .
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