Contes de ma mère l'Oye
Auteurs   Perrault, Charles (Auteur)
Doré, Gustave (Illustrateur)
Edition  L'école des loisirs : Paris , 1978
Collection   Renard-poche N°48
Collation   126 p.
Illustration   ill., couv. ill. en coul.
Format   19 cm
indice Dewey   83
ISBN   2-211-04928-1
Prix   5.00
Langue d'édition   français
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Réservation
SiteNuméroCoteSection / LocalisationEtat
Barbentane 010003317 C PERJeune / Disponible
Résumé : La Belle au bois dormant Une jeune princesse, condamnée par une méchante fée à un sommeil de cent ans, est réveillée par un beau prince qui l’épouse et lui donne deux beaux enfants, la petite Aurore et le petit Jour. La mère du prince, une reine ogresse, veut dévorer petits-enfants et belle-fille. Ils seront sauvés in extremis par le roi. Le Petit Chaperon rouge Le Petit Chaperon rouge, petite fille qui doit son nom à son capuchon, va porter à sa grand-mère un petit pot de beurre et une galette. Dans la forêt, elle rencontre le loup qui l’invite à le rejoindre chez l’aïeule. Il profite de son avance sur le Petit Chaperon rouge pour manger la vieille femme. Et lorsque arrive la petite-fille de la défunte, il réserve le même sort à l’enfant. Barbe-Bleue Une jeune fille épouse un riche seigneur qui doit son nom, Barbe-Bleue, au panache qui orne ses joues. Celui-ci part un jour en voyage, et remet à sa jeune épouse les clefs du château. Il lui précise qu’elle est libre de les utiliser toutes, à l’exception de celle de son cabinet secret, sous peine de mort. Durant son absence, elle ne peut résister à la tentation et découvre dans le cabinet les six précédentes épouses, que l’on croyait disparues, mutilées et pendues. Saisie d’horreur, elle laisse tomber la clef qu’une tâche de sang ineffaçable macule. A son retour, Barbe-Bleu décide conformément à la règle qu’il avait imposée d’assassiner la jeune fille. Celle-ci sera sauvée in extremis par ses deux frères, qui tueront l’époux homicide. Le Chat Botté Le cadet d’un meunier reçoit en héritage un Chat doué de raison, de parole, et bientôt, d’une paire de bottes. Contre toute attente, l’astuce du félin permet au pauvre jeune homme d’attirer l’attention du Roi et surtout de sa fille. Le Chat Botté parvient à les convaincre par la ruse et la menace que son maître, le Marquis de Carabas, est seigneur d’un grand domaine et de moult gens. Il parvient même à éliminer le véritable propriétaire de tous ces biens, un Ogre qui encouragé par les flatteries du Chat, se change en souris, avant d’être croqué. Le Marquis gagnera sa seigneurie, ainsi que la main de la princesse. Les fées Une méchante veuve élève ses deux filles. L’aînée aussi mauvaise qu’elle, tandis que la seconde est la bonté de son père incarnée. Cela lui vaut d’être la souffre-douleur de sa mère et de sa sœur. Allant chercher de l’eau à la fontaine, elle donne bien volontiers à boire à une vieille femme. Celle-ci est en réalité une fée, qui par un sortilège, fait sortir de la bouche de la jeune fille, à chaque parole prononcée, des roses et des joyaux. La mère acariâtre s’empresse d’envoyer sa fille aînée qui, elle, se verra condamnée à cracher crapauds et vipères à chaque mot. Un jeune prince tombera amoureux de la cadette, tandis que l’autre sœur va mourir au coin d’un bois . Cendrillon Un seigneur endeuillé convole avec la plus vile des femmes. Cendrillon, sa première fille, doit dès lors supporter les brimades de sa belle-mère et de ses deux filles. Le Prince ouvre un jour à bal où toutes les jeunes femmes sont conviées. Les deux mauvaises sœurs s’y rendent, et Cendrillon pleure sur son sort. Sa marraine la fée la console en la parant d’atours dignes d’une princesse. Cendrillon se rend finalement au bal, où le Prince s’éprend d’elle. A minuit, heure où l’enchantement prend fin, elle se retire, et perd en chemin l’une de ses pantoufles de verre. Le Prince lance une enquête pour retrouver la propriétaire du soulier. Aucune jeune femme ne parvient à enfiler la chaussure sauf Cendrillon, qui épouse le Prince.